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Déclaration du Vatican sur les Principes directeurs des Nations Unies relatifs aux entreprises et aux droits de l'homme 25 Juin 2014

Des principes directeursSon Excellence Mgr Silvano M. Tomasi, Observateur permanent du Saint-Siège auprès des Nations Unies et d'autres organisations internationales à Genève a présenté une déclaration sur les Principes directeurs des Nations Unies à la 26e session du Conseil des droits de l'homme le 11 juin. La déclaration, intitulée «Rapport du Groupe de travail sur la question des droits de l’homme et des sociétés transnationales et autres entreprises» est excellente, appelant à la nécessité d’élargir la diffusion des principes, d’améliorer la mise en œuvre, de renforcer la confiance entre les parties prenantes et de surmonter les obstacles. à un recours effectif.

La Principes directeurs relatifs aux entreprises et les droits de l'homme (Principes directeurs) ont été approuvés par le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies sur 16 June 2011. Les Principes directeurs fournissent une norme mondiale faisant autorité pour traiter les impacts négatifs sur les droits de l'homme liés à l'activité commerciale dans le monde.

Les Principes directeurs définissent, en trois piliers, les principes concernant le devoir de l'État de protéger les droits de l'homme, la responsabilité des entreprises de respecter les droits de l'homme et l'accès aux recours pour les victimes de violations des droits de l'homme.

Ce qui suit donne un aperçu de la déclaration qui reflète pleinement la préoccupation du Vatican pour l'impact des structures et activités économiques puissantes sur la vie des gens ordinaires:

«La capacité des sociétés internationales à échapper partiellement à la territorialité et à se forger une existence« entre »les législations nationales est à juste titre l’une des préoccupations de la communauté internationale. Leur mobilité en termes de pays de constitution, de gestion, de production et de flux financiers leur permet de naviguer dans les législations nationales, de profiter des arbitrages réglementaires et de choisir les juridictions susceptibles d'offrir le meilleur rendement en termes de bénéfices. Le pape François, dans son Exhortation apostolique «La joie de l'Évangile», et d'autres chefs religieux de la communauté internationale ont souligné à maintes reprises que le profit ne peut pas être la seule justification de l'activité commerciale. Les sociétés transnationales font partie de la famille humaine et, en tant que telles, leurs activités doivent respecter les normes des droits de l’homme. »

«Un autre point de préoccupation pour la communauté internationale est la complexité inhérente aux sociétés transnationales en ce qui concerne leurs divers modèles de fonctionnement (modus operandi) qui les rend très difficiles à surveiller et à superviser. L'absence de transparence solide et opportune qui en résulte rend très difficile la mesure du respect des règles et des législations. Les violations des droits de l'homme surviennent trop souvent par négligence totale envers des conséquences qui auraient été prévisibles si quelqu'un avait voulu y penser. Ces sortes de «négligences» ne sont pas occasionnelles, mais systémiques. »

Lisez la déclaration complète ici.


Le Saint-Siège se prononce sur la nécessité d'une plus grande responsabilité sociale et environnementale des entreprises 17 Juin 2013

23ème session du CDH Rapport du débat général sur les sociétés transnationales et les droits de l'homme, 31 mai 2013

Une déclaration récente sur les entreprises et les droits de l'homme au CDH à Genève par l'Ambassadeur du Saint-Siège a souligné l'importance d'une responsabilité sociale et environnementale accrue des entreprises, notamment à la suite de l'effondrement tragique des usines au Bangladesh. Le Saint-Siège a souligné la nécessité d'un «consensus plus complet et plus réfléchi sur le rôle et la responsabilité des entreprises dans la société». L'ambassadeur a ajouté que «bien qu'un grand nombre de personnes et de chefs d'entreprise aient réussi à dépasser la maximisation Le but du profit est la seule raison et le seul but des entreprises. Le soutien et l'adoption du cadre juridique qui peut servir de fondement à cette nouvelle vision en sont encore à leurs balbutiements. La recherche d'un consensus qui assurera l'équilibre souhaitable entre le rôle et la responsabilité des gouvernements et du secteur public et, en même temps, la possibilité pour les sociétés privées d'apporter leur précieuse contribution au bien commun, se poursuit ".

Lire la Déclaration sur les entreprises et les droits de l'homme au CDHNU par le Saint-Siège Ambassadeur May 2013 ....

 

 


Le Saint-Siège parle de la traite des enfants 13 mars 2013

441px-Emblem_of_the_Holy_See.svgSon Excellence l'archevêque Silvano M. Tomasi, Observateur permanent du Saint-Siège auprès de l'Organisation des Nations Unies et d'autres organisations internationales à Genève, a publié une déclaration sur la traite des enfants à la 22ème session du Conseil des droits de l'homme. La déclaration s'intitule «Rapport du Rapporteur spécial sur la vente d'enfants, la prostitution des enfants et la pornographie mettant en scène des enfants». consultée ici.

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