Logo OMI
Actualité
Traduire cette page:

Nouvelles Récentes

News

Archives des actualités


Dernière vidéo et audio

Plus de vidéo et d'audio>

La Coalition FACT demande au Congrès d'éliminer les échappatoires fiscales des entreprises

Janvier 21st, 2014

Les Missionnaires Oblats se sont récemment joints à d'autres organisations travaillant à travers la Coalition pour la responsabilité financière et la transparence des entreprises (FACT) pour demander au Congrès d'éliminer les échappatoires fiscales des entreprises. La coalition s'inquiète du déplacement des entreprises à l'étranger et de l'évitement des impôts américains par les entreprises. La lettre appelle le Congrès à «refuser de prolonger deux allégements fiscaux récemment expirés qui subventionnent des entreprises très rentables au détriment des Américains ordinaires».

Ces allégements fiscaux encouragent «les sociétés américaines à prêter, investir et créer des emplois dans des pays étrangers plutôt qu'aux États-Unis». L'exception de financement actif mentionnée dans la lettre est l'une des principales raisons pour lesquelles General Electric a payé en moyenne seulement un taux d'imposition fédéral effectif américain de 10% 1.8 au cours des dix dernières années. Cette exception a été supprimée dans la réforme fiscale de 1986, mais a été rétablie après un lobbying féroce des entreprises. Il a été étendu de manière cohérente depuis 1998. "La dernière prolongation de deux ans de l'exception de financement actif a été estimée par le Comité mixte sur la fiscalité pour avoir coûté $ 11.2 milliards aux contribuables."

Une deuxième exception, appelée la règle du CFC, était également visée dans la lettre. Les groupes qui ont signé la lettre ont déclaré que «la dernière prolongation de deux ans de la règle de transparence des CFC a été estimée par le Comité mixte sur la fiscalité pour avoir coûté aux contribuables $ 1.5 milliards».

Alors que les gens continuent de lutter pour trouver un travail décent, l'indignation suscitée par les sociétés multinationales qui jouent essentiellement le système est compréhensible. Nous espérons que cet outrage contraindra le Congrès à défendre les contribuables ordinaires et à cesser d'accorder à ces sociétés un laissez-passer gratuit.

Lire la lettre (Télécharger le PDF)

 

 

 

 

 

 

retourner en haut