Le séminaire 2-3 de novembre, tenu au Vatican, a réuni quelque soixante-dix délégués d'Argentine, Australie, Autriche, Belgique, Brésil, Angleterre, France, Guatemala, Irlande, Mexique, Nicaragua, Nigéria, Singapour, Espagne, Suisse, et les Etats-Unis. Le rapporteur spécial des Nations Unies sur la traite des personnes, en particulier les femmes et les enfants, Joy Ngozi Ezeilo du Nigéria, figurait parmi les vingt-deux orateurs.

Les soixante observateurs présents ont été invités à apporter des propositions concrètes grâce auxquelles l'Église mondiale pourrait mieux répondre au sort de millions de peuples asservis.

Le pape François a été directement impliqué dans la lutte contre l'esclavage moderne à Buenos Aires, où il a activement soutenu le travail de la Fundacion Alameda, une organisation argentine dirigée par Gustavo Vera, un autre orateur. Le premier voyage du pape après son élection a été à Lampedusa pour rendre hommage aux centaines de morts récemment en mer, en essayant d'atteindre cette île à mi-chemin entre la Sicile et la Tunisie où de nombreuses victimes de la traite des êtres humains finissent.

Apprenez-en davantage sur cette conférence et les efforts visant à mettre fin à la traite des êtres humains dans le numéro de novembre de Stop Trafficking !